Je n’y suis pour rien
Performance




Invité en 2002 par une Université à São Paulo (PUC-SP) pour une conférence sur le thème "musiques noires et identités", l’artiste est présenté à un anthropologue brésilien intéressé par le thème. Après plusieurs rencontres, Contador s’aperçoit d’une gêne chez son interlocuteur. Ce dernier lui explique qu'il est l'arrière petit-fils d'une esclave noire abusée par son propriétaire portugais se prénommant Antonio. Pour Il va se passer quelque chose, Antonio Contador révèle, sous la forme d’un récit performé au haut-parleur, l’histoire de cette rencontre. Le récit se termine par la phrase "Je n’y suis pour rien", une allusion subtile à la performance d’Elmgreen & Dragset "It’s Never Too Late To Say Sorry" (2011). - Agnès Violeau

Performance à la Maison de l'Amérique Latine à Paris. (cur : Agnès Violeau)

Vue de la performance à la Maison de l’Amérique Latine à Paris.
Photos : Lorena Diaz